Le jeune et talentueux compositeur libanais Mansour Aoun qui poursuit son cursus de composition au Conservatoire à Rayonnement Régional de Boulogne Billancourt, présente, le mardi 28 mai, à Paris une œuvre en création mondiale.
Voici ce qu'il en dit: “La femme qui dansait seule sur l’île” est un essai musical dans lequel le statisme et le mouvement se confrontent. Le titre ne m’est venu qu’après la fin de l’écriture, quand j’ai remarqué qu’il existe une certaine activité, que j’ai vue comme corporelle, dans un espace très lointain et très statique. Alors on pourrait pas savoir l’exacte endroit de l’île, mais les rythmes et les harmonies indiquent qu’elle pourrait être quelque part dans le bassin oriental de la Méditerranée.
L'effectif de la pièce est : flûte, violoncelle, contrebasse, tambour sur cadre, piano et orgue microtonal.
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