Nous sommes le 6 juillet.
11h30 heure de Paris
Lumières étincelantes, musique à fond…
Mais nous ne sommes pas sur le runway… et pas à la semaine de la Haute Couture Parisienne.
Nous sommes à Beyrouth. Dans nos ateliers. Avec notre équipe.
Les mains de fées dessinent, créent, cousent…
La collection va être lancée… Mais pas maintenant. Bientôt.
La maison Tony Ward a pris la décision de s’écarter du calendrier de la Mode et de suivre son propre rythme.
En ces temps difficiles que le monde traverse, le couturier a dû s’adapter à ce ralentissement global en choisissant soit d’adopter un rythme plus calme soit de réduire son équipe.
Etre présent sur le runway avec toute l’excitation d’un défilé de mode mais avec moins de collaborateurs dans les ateliers… Est-ce une nécessité aujourd’hui ?
Il était temps de changer l’ordre des priorités et d’aller vers l’essentiel : soutenir l’équipe sans laquelle la maison Tony Ward n’aurait pas été ce qu’elle est.
Il a donc choisi de garder chacune de ces mains de fées, de créer du nouveau et de créer de l’espoir…
Dans un monde loin d’être normal… « The show must go on », la vie continue mais différemment cette fois-ci…
ARTICLES SIMILAIRES
L’atelier restauré de Rabih Kayrouz, écrin d’une collection vibrante
18/03/2024
Un mélange d’art et de mode
Camilla Mina
19/07/2023
Midjourney pour les nuls
Ella Morand
30/06/2023
Chat GPT pour les nuls
Yaël Assayag
16/05/2023
Georges Haddad, l’alchimiste de Beyrouth
Noame Toumiat
10/01/2023
Pinch Moi!, un 'exclamation store' inspiré des couleurs du monde
Nadine Fardon
15/12/2022
Patrick Boghossian, créateur de bijoux
Zeina Saleh Kayali
12/12/2022
"Gaudi", la nouvelle collection de Randa Tabbah
Zoe Lunven
05/12/2022
Valence 2022: le design en capitale
Christiane Tawil
11/10/2022
Josette Menassa ou la passion de l’art
Zeina Saleh Kayali
26/09/2022