Le peintre Roy Sfeir continue à explorer sa recherche esthétique en présentant une trentaine d’œuvres (acrylique sur toile) de moyen et petit format à la galerie Samagra à Paris. Pour l’artiste « il s’agit de la suite de l’exposition de l’année dernière. Je continue d’explorer des chemins et des horizons nouveaux.
« Frontière lointaine » 2025
Certaines toiles sont en rupture totale avec les précédentes alors que d’autres en constituent une continuation ». Ces œuvres datent toutes de 2025 et le peintre revendique une certaine spontanéité dans le geste artistique : « Il est vrai que je peins vite, mais il s’agit là du fruit d’un long temps de maturation et d’expérience ».
La peinture de Roy Sfeir est toujours inspirée par la nature et, en même temps que la recherche esthétique, l’artiste est dans une introspection permanente. Il puise dans ses souvenirs, dans son inconscient, dans ses joies et ses peines, bref dans toute la palette de sentiments qui forment un être humain.
« Le cadre noir » 2025
C’est le moteur de mon travail » dit-il. Et il est vrai que l’action de peindre prend beaucoup d’énergie. Roy Sfeir conclut : « Je fais très attention à ce que mes œuvres ne ressemblent pas à celle d’un peintre qui existe déjà. Il est difficile de trouver un langage nouveau si l’on veut être sincère et honnête. C’est une vigilance de tous les instants ».
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« La maison sous la pluie » 2025